La grande salle

Dans le renfoncement d'un montagne, sur le bord de la route impèrial, siège le relais que Dame Amèlia à hèrité de ses parents adoptif. Grâce au relief naturel et les patrouile, c'est un endroit plutot sure face aux assaut des monstres.
Dèrrière les lourdes portes en bois se trouve des dizaine de tables prêt à acceuillir les clients. Celles ci se trouve dans une grande salle rectangulaire où crépite un bois de cheminée. La pièce est décoré au goût de la gèrante actuelle avec des tenture rouge et noires et laisse place à trois sortie dont un escalier menant aux chambres, une porte dèrrière le bar allant vers les ecuries et la reserve puis une dernière pour les appartement privèe. Le tout est éclairer avec des chandelier pendut aux murs.

Alors que Noxillia étandait son règne, quelque goutte de plus en plus rapproché vinrent taper à la fenètre pour annoncer l'arriver de l'orage. Les quelques serviteur qui s'agitait dans tout les sens pour remettre à neuf le relais s'en furent soudain dècourager de voir quelqu'un venir aujourd'hui encore.
Soudain, la porte claqua brusquement laissant apparait dans l'encadrure de la porte une dizaine de soldat dont le blason placè près du coeur trahissait l'appartenance à l'armée impèrial suivit de près par une chevalier à l'armure noiratre dont le haume ne laissairt paraitre aucune émotions.
D'un seul et même pas, il vinrent se poster à une table à cotès de la cheminée et ,scrutant les lieux dans le moindre recoin, attendirent que quelqu'un vienne prendre leur commande.

Amélia se trouvait déjà dans la pièce lorsque les soldats firent leur entrée. En bonne hôtesse la jeune femme pris les commande et les transmis à Aby en cuisine.

L'arrivée impromptue de ces guerriers avait influencé de façon bénéfique l'humeur d'Amélia. Elle était tout sourire avec chacun.

Volontairement, elle garda le plus haut gradé pour la fin. Elle s'approcha donc de la cheminée, ondulant les hances telle une courtisane.

- Et pour Monsieur, ce sera?

Elle avait parlé doucement de ça voix chaude et enveloppante.

Le chef de la section reguarda la gèrant droit dans les yeux et, d'une voix qui semblait rèsonnait étrangement dans l'amure, il demanda à avoir la spècialité.
Une fois les commande arrivè, le chevalier enleva enfin son haume laissant apparaitre ainsi un doux visage fèmminin aux long cheveux blond couvrant encore partiellement des yeux d'une noirceur tel le charbon. Cette tête perturba Amèlia car il lui était étrangement famillier.

Amélia fit quelque chose qu'elle se permettait rarement lorsque la salle était bondée. Elle pris place à la table de l'inconnue et engagea la conversation.

- Nous avons déjà eu l'honneur de vous avoir dans notre établissement?

Elle était curieuse de savoir qui était ce mystérieux inconnu.

La femme darda ses yeux Amèlia faisant comprend qu'elle n'aimait pas son comportement mais n'alla pas plus loin. Sur un soupir, elle dit juste:

- Cela m'étonnerais fort, c'est la première foi que je viens ici. Vous avez dut confondre...

Ne terminant pas sa phrase, elle se plongea dans son plat sans plus prendre guarde à l'aubergiste.

- Peut-être... mais j'oublie rarement un visage.

Elle se leva et retourna s'occuper des clients, l'esprit torturé par l'inconnue. Elle essayait en vain de se rappeller où elle avait pu la rencontrer auparavent.

Toutefois, afin de s'assurer que la femme reviendrait à son auberge, Amélia la traita aux petits oignons, devençant même certains de ses désirs.

Sibel entra dans la grande salle, le ménage avait été fait partout ailleurs déja il ne restait que cette pièce, et elle fut surprise de voir qu'il y avait du monde. Elle alla donc voir Amélia pour l'aider, avec autant de monde elle devait etre débordée.

- Besoin d'un coup de main Madame Amélia? J'ai terminé le ménage des chambres alors je suis disponible pour vous aider a s'occuper de nos visiteurs.

Voyant la jeunne servante arriève, le chevalier laissa apparaitre un sourire satisfait surtout qu'elle commençait à s'ennuyer auprès des seul amis de son misèrable frère. Elle se pencha à l'oreille d'un soldat pour lui murmurer quelques consigne que celui ci ttransmit aux autres puis, après avoir dèposé un bourse sur la table, se leva en direction de la porte. Ses homme firent mine de la suivre s'épatpillant dans la salle.

-Au nom de l'empereur, il est de mon devoir de vous capturez pour avoir herbergez une abomination monstrueuse.*comme pour eviter tout malatendu, elle dèsigna la dènomer Sibel* Guardes attrapez les !!!

Sur un rire cynique, la gradèe quitta les lieux, jugeant sa missions dèja accompli.

Sibel fut surprise d'entendre la gradée ordonner son arrestation, elle n'avait pourtant pas montré ses attributs a aucuns d'entre eux, quoi que son aura a du changer avec cette transformation, ca pourrait expliquer comment elle l'as repéré si rapidement. Elle ne comprenais toutefois pas leur motifs, s'il voulaient la capturer ils en auraient eu le temps avant qu'elle commence a travailler ici.

- Je n'ai pas l'intention de me laisser faire, j'ai été abandonnée parce que j'étais un échec, alors pourquoi m'avoir libérée si ce n'était que pour me reprendre plus tard?

Sibel s'était placée dos au mur, ses tentacules prêtes a sortir la fesait trembler légerement. Elle n'avait pas l'intention de blesser personne, mais elle ne se laisserait pas capturer aussi facilement.

Amélia s'était dirigée vers les soldats lorsqu'elle les avait vu sortir leur bourse. Elle les avait fait payer et s'apprêtait à répondre à la question de Sibel quand l'inconnue avait donné l'ordre d'arrestation.

Elle regarda dans la direction que la femme pointait et vit qu'il s'agissait de Sibel. Amélia n'avait jamais rien eu à redire sur la jeune femme qui travaillait autant sinon plus que les autres domestiques de la maison.

Elle resta donc interdite, essayant de comprendre ce qui se passait exactement.

Les hommes, arme au clair, refermèrent doucement leur cercle autour des femmes. Sachant qu'elles n'était pas capable d'opposer une resistance suffisante surtout dut à la surprise qui se lisait sur leeur bisage, un des soldat ldit d'une voix grave:

-Ecoute gamine, on a pas rèellement besoind e raison juste d'excuse. Je vous donne juste un conseil: restez calme et la souffrance sera amoindrit.

Les soldat les tenait en respect et celui qui a parlé s'approcha un peu plus lorsque la porte de l'ecurit s'entre bailla.

Amélia sortit du cercle de soldat et se dirigea vers la porte qui semblait avoir été ouverte par le vent. Il était hors de question de laisser la chaleur de la pièce sortir.

Lorsque les soldats firent mine de vouloir l'arrêter, Amélia leur dit doucement:

- La porte... il faut la refermer.

Elle continua donc son chemin jusqu'à la porte. Elle l'ouvrit un peu plus afin de voir si quelque chose l'empêchait de bien fermer. Ce qu'elle vit à l'extérieur la fit sourire.

La porte, c'était la meilleure facon pour elle de pouvoir s'en sortir. Sibel était attentive aux mouvements d'Amélia, pour savoir s'il n'y aurait pas quelque chose de l'autre coté. Le vent qui se levait ouvrit la porte plus grande, et Sibel n'avait pas ses runes elle n'était pas responsable de ce qui se produisait.

- Ne tentez rien Amélia, j'ai un présentiment que quelque chose de bien va arriver.

Lorsqu'Amèlia se dirgea vers la porte, un des soldat leva une main sur elle qu'il retenu grace à l'explication. Cependant deux guarde la suivirent près à frapper si elle tentait de se moquer d'elle malgrès le fait qu'on leur ait demandé de les guarder indemme.

-Ma dame, je pense qu'il faudra revoir votre accueille si vous ne voullez pas avoir de critique trop sèvère.

Cete blague, ma foi de mauvais gout, provenait de la forme sombre que l'on pouvait enfin distinguer face à l'écurie. Une lueur cintillant dans les yeux, l'étranger pivota sur un pied pour esquiver la première lame et envoya le genoux de l'autre dans l'abdomen de l'opposant qui s'effondra. Pendant ce même, il attrapa le bras de l'autre soldat et l'attira plus près pour s'en dèbarrasser d'un coup de pied à l'arrière du genoux suivit d'un dans la nuque.
Reprenant son souffle, l'étranger ramassa une arme tout en guardant les yeux fixè sur le reste des soldats.

-Bon, les bluets.... je vous plainds. Vous êtes dans une sale posture là.

Ceux mirent en position dèfenssive, le visage blême de voir tomber deux des leurs en peu de temps. Biensure, ils avait encore un bon avantage numèrique qui devrait leur laisser de grande chance de victoire et cela malgrès l'experience de l'adversaire. Seulement, lui, il semblit avoir plus ça. Le doute les rongea au point d'en oublier les deux prisonières.

Amélia s'était enlevée du chemin juste à temps pour éviter les coups. Depuis qu'elle avait regardé dehors qu'elle avait reconnu un habitué de la salle secrète de son auberge. Elle connaissait l'homme est se sentait à nouveau en sécurité même si le combat n'était pas terminé.

Sibel fut surprise, elle ne connaissait pas vraiment le visage qui était entré. Mais a voir la réaction d'Amélia elle était certaine que le danger était passé. Elle ne ressentit plus le besoin de se servir de ses tentacules, et elle arrêta de trembler puisqu'elle ne les tenaient plus prêtes a sortir. Elle demeura silencieuse, attendant de voir ce qui allait se passer.

D'un geste large, l'étranger ota sa cape se qui troubla encore plus les soldat qui dècouvrirent un visage iddentique à leur chef, ayant pour seul difference la couleur des cheveux. Avant d'un pas assuré, l'homme fit tournoyer l'épée qu'il venait de recuperer devant lui.
Le soldat qui jusque là semblait prendre de l'autorité sur ses camarades, surement le plus expèrimenté, chargea dans un geste desespèré pour se retrouver quelques instend plus tard à criè de douleur, le bras à moitiée arraché. Les autres restaient pètrifié de voir un de leurs ancien gradèe les attaquer. Ils avaient bien eut l'idée de se rendre seulement ça revenait à choisir entre la peste et le colèrat, Axel ou Cèlimène, celle ci faisant payer chère les echecs.
Comme il le pensait, Axel avait desormais l'avantage car ses opposant, peu expèriementé, était non seullement surpris mais aussi effrayé.
..... (je passe cours le combat, voullant éviter de tomber dans le trash..)
Jettant la lame ensanglantée à terre, l'étranger s'eccroulla sur une chaise puis se mit à evaluer ses nombreuse égratignure.

Amélia s'approcha d'Axel et l'embrassa sur les deux joues.

- On peut dire que tu es tombé à point ce soir... Sibel, apporte de quoi nettoyer les blessures d'Axel.

Pour une fois, alors qu'elle s'adressait à Sibel, Amélia n'avait pas haussé le ton. Ce n'était pas un ordre qu'elle lui lançait, c'était une demande urgente. Tout en parlant, elle n'avait pas quitté Axel des yeux.

- Tu veux quelque chose? C'est moi qui régale...

Invité

Elle se sentie un peu mal à cose de la brutalité du comba , elle s'éforça de rester calme mais, elle perdi conaissence et s'asomma la tête contre la fenêtre.

Sibel acquiesca de la tête a la demande d'Amélia et se dépecha d'aller chercher des compresses pour les blessures d'Axel. Elle avait toutefois entendu un bruit provenant de la fenêtre, mais elle n'avait pas le temps de s'en occuper immédiatement.

Une fois qu'elle eut donné les compresses a Amélia, Sibel s'approcha de la fenêtre ou elle avait entendu du bruit pour voir une jeune femme qui s'était sans doute évanouie

- Il y a quelqu'un dehors, je vais la chercher elle ne semble pas consciente.

Elle revint rapidement avec la jeune femme qu'elle étendit par terre pour tenter de la soigner.

Axel restait planter sur sa chaise, un reguard vague observant la danse qu'effectuaitt les flammes dans la cheminèe. Cette mèditation invollontaire fut interrompu par Amèlia. Un leger sourire au lèvre, il lui repondit:

- Je croit que je t'en devais une. Mai si tu m'offre une chope de bière, je l'accepterais volontier.

Se resssaisissant, il attrapa les compresse et se soigna lui même. d'un mouvement de tête, iol fit comprendre à l'aubergiste qu'il vallait mieux qu'elle s'occupe de la jeunne Alka que ramenait la servante.

- Ne t'inquiète pas, tu la mérite amplement...

Amélia attrappa une des compresses disposées pour Axel et se dirigea vers Sibel et la jeune femme.

Agenouillée près de l'inconnue, elle lui épongea doucement le front jusqu'à ce que la jeune femme revienne à elle. Alors que l'Alka papillotais les yeux en reprenant ses esprits, Amélia donna la compresse à Sybel et alla chercher la bière d'Axel.

- Voilà...

Elle déposa une grosse chope devant le Korfir.

Invité

La jeune femme bleu venait de reprendre ses espris. Elle regarda autour d'elle et remarque qu'elle était dans l'auberge. Elle s'asit et regarda les gents. Elle se demanda comment elle avait bien pu se retrouver la. Haléra décida de ne rien dire pour le moment, elle se contenta d'observer les lieux.

Invité

La porte s'ouvrit lentement, laissant apparaître Aeslyn qui venait d'arriver.

Voyant la jeune femme bleue assise par terre, Aeslyn s'approcha d'elle.

- Êtes-vous blessée mademoiselle?

Elle n'avait pas vu Sibel qui s'occupait aussi de l'inconnue.

Invité

-Je, heu, oui ca va. Enfin je crois. Comment suis-je arivé ici?

Après une longue ésitation, elle avait fini par répondre.