La chambre 11

Héro Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 13/05/2005

Sur le coup Edgar ne remarqua pas et surtout évitaiot de regarder à cette endroit en particulier, mais il y jeta finalement un coup d'oeil et releva lentement la tête, mi-gênée mi-aventurier. Il dit alors :

-Je crois que ces draps ne sont pas approppriés pour une dame de votre beauté, si vous souhaitez vous rhabillez cela est à votre aise. Vous n'avez plus de bosses dans le dos et vous devriez vous sentir moins nerveuse.

Certes le héros a eu plusieurs admiratrices. mais jamais de concubines et n'a jamais traîné ave des prostitué. Il désira se réserver à la femme de sa vie. Bref, il était resté chaste tout sa vie et c'était al première fois qu'il pouvait admirer les courbes d'une femme...

Amélia détailla Edgar du regard et passa une langue gourmande sur ses lèvres.
- J'avoue qu'il y a longtemps que je ne me suis pas sentie aussi bien...

Elle s'approcha lentement du soldat, ne replaçant à aucun moment son "vêtement", si bien qu'elle se retrouva nue devant lui. Elle continua à avancer jusqu'à pouvoir sentir la chaleur dégagée par le corps d'Edgar.

D'un geste doux, Amélia caressa la joue d'Edgar, gardant ses yeux fixés sur ceux de l'homme.

- Il ne me manque qu'une chose pour être totalement relaxée...

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Edgar ne put retint un sourire, lui qui avait fait abstinence toute sa vie se retrouvait maintenant devant une femme des plus belles nues, qui attendait qu'une chose.... Bref, Edgar eut une pensée pour les propos de sa mère qui lui disait qu'une femme lui était destinée et tu saura qui elle est en la voyant. Amelia ne semblait pas être la dite femme.... Lui faudra-t-il un temps d,adaptation....Enfin, l'homme cessa de réfléchir et retorqua à la dame.

-Ça aussi ça venait avec le massage mademoiselle

Il approcha doucement ses lèvres de celles de la dame.

- Amélia, pas mademoiselle...

La jeune femme se laissa aller contre Edgar, l'embrassant tout doucement, comme si elle savait d'or et déjà qu'il avait peu d'expérience en ce domaine.

Lentement, elle lui passa les bras autour du cou, lui caressant la nuque et les épaules.

Bien qu'ayant très envie de lui, elle réfréna ses ardeurs afin de s'accorder au rythme de son nouvel amant.

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L'homme, malgré son inexperience, semblait déjà prendre le tour rapidement et caressait doucement le dos de la femme avec lui. Il passa ses bras autour de sa taille. Edgar n'avait aucune idée de ce qui allait se passer et se demandait si c'était de l'amour ou juste par simple plaisir. Mais il ne pensa pas à cela pour l'instant et profita de cette instant de bonheur.

Sans arrêter de l'embrasser, Amélia guida Edgar jusqu'au lit, le délestant peu à peu de ses vêtements. Elle prenait son temps, laissant à l'homme le temps de s'habituer au fait de porter de moins en moins de vêtements.

Plus elle l'embrassait, et plus elle devenait exigente. Jamais encore elle n'avait eu d'amant si peu expérimenté. Bien qu'elle voulu aller au rythme d'Edgar, son corps, lui demandait, exigeait même de passer à la vitesse suppérieure.

Entre deux baisers, alors qu'ils arrivaient au lit, elle demanda:

- Tu as déjà...?

Mais au tressaillement qui avait agité Edgar lorsqu'ils s'étaient retrouvés peau contre peau, elle avait déjà eu sa réponse.

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La question paralyza le héros et celui-ci sentit une certaine tension. Un non arrêterait-il toute la scème ou la femme continuerait à être indulgente. Selon le héros, il serait mieux de la jouer défensive...

-Certes, je ne voulait pas aller trop vite pour ne pas que vous me mépreniez pour un obsédé sexuel Amelia.

L'homme soupira interieurement, et décida d'aller plus vite maintenant quitte à être légèrement maladroit.

Amélia continua de l'embrasser, caressant avec plaisir le orps musclé d'Edgar.

La réponse de l'homme avait fait poindre un sourire sur les lèvres de l'aubergiste.

- Menteur... ton corps te trahis...

Tout e parlant, elle continuait de l'embrasser. D'une certaine façon, elle se sentait honnorée d'être la première femme à avoir une relation ausis "intime" avec Edgar. C'était un bel homme et les femmes devaient se l'arracher.

Il lui fallut un effort surhumain, mais Amélia reprit le contrôl de son corps, enlevant ainsi la pression qu'elle avait mise involontairement sur son amant.

Sûr d'elle, Amélia entreprit "d'éduquer" Edgar sur les jeux de l'amour. Elle lui montra donc où et comment caresser une femme pour qu'elle atteigne un maximum de plaisir. Elle s'amusa aussi à lui faire qulques caresses, lui arrachant ainsi qulques râles de plaisir.

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Edgar se plie avec plaisir aux actes de sa maîtresse et était un bon étudiant. Il comprenait vite et faisait rapidement des liens entre le sexe et l'escrime. Ces dits liens le faisaient d'ailleurs rire. C'était bien sur la première fois que le héros se trouvait si près d'une femme nue et était le plus delicat possible. On aurait dit qu'il manipulait une fleur. Parfois l'homme y allait même de son cru et tentait quelque chose peu importe les conséquences sur la femme (Rien qui risque de lui faire mal bien sur.)
Bref, le guerrier n'avait jamais senti un si immense plaisir et se demandait pourquoi il ne l'avait pas fait avant...

(j'aurais du me relire hier... c'est plein de faute lol)

Bien blotie au creux de l'épaule du guerrier, Amélia caressait les pectoraux d'Edgar du bout des doigts.

- Tu apprends vite... et bien...

Un triste sourire se dessina sur ses lèvres. Elle ne ressentait pas d'amour pour cet homme, un autre occupant déjà tout son coeur mais pour la première fois, elle ressentait un vide au fond d'elle. Comme si le fait de savoir qu'il partirait sous peu l'angoissait soudainement, alors qu'il ne s'était jamais rien passé de tel avec ses autres amants.

- Encore une ou deux fois et je n'aurai plus rien à t'apprendre... tu en savais déjà beaucoup d'instinct...

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Edgar se sentait soulagé mais tout de même tourmenté. Était-ce de l'amour? Serait-elle la femme de ses rêves? Le héreos n'avait jamais compris ses concepts, bien trop occupé à mener des batailles au fin fond des terres de ce continent. Le combattant se demandait si cette femme n'avait demandé que cela, du sexe... Mais bon, il cessa de se questionner et savoura le moment qu'il vivait.

-Cela ne presse pas, je suis tout aussi patient que bon élève

La savante coiffure d'Amélia n'avait pas résisté à leurs ébats. Elle voulu se relever sur un coude pour voir Edgar de face mais sa longue chevelure l'en empêcha car elle était en parti coincée sous l'homme.

- Aie!

D'une main, elle prit la mèche fautive et tenta de la dégager.

- Tu permet?

Elle fit rouler Edgar sur lui même et se libéra. Quand le guerrier revint à sa position initiale, Amélia tressa rapidement ses cheveux afin qu'une chose pareille ne se reproduise plus.

- Malgré toute ta patience, tu finiras par quitter cette auberge. C'est toujours ainsi...

Avait-il vu la lueur de regret qui avait traversé ses yeux? Amélia espérait que non. Elle s'expliquait mal cet attachement soudain.

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Le héros secoua légèrement les lèvres. Certes, un jour il devra partir et il ne restera pas pour toujours. D'autre on besoin de ses talents de duelliste. Il cessa de penser a cela et se retourna vers la femme, parlant d'un ton neutre.

-Est-ce que c'est une ruse pour me faire rester de me prendre par les sentiments?

Il souria mincement, mais se sentit un peu brusque d'avoir dit une chose de la sorte

Amélia laissa s'échapper un soupir.

- Loin de la... Habituellement j'encourage même mes amants a quitter l'Auberge le plus vite possible.

Elle redéposa sa tête sur l'épaule d'Edgar.

- Je ne comprend pas du tout pourquoi j'ai envie qu'il en soit autrement cette fois...

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Edgar se mordilla la lèvre inférieure et pensa à son dur métier de héros. Oui, il était peut-être tomber en amour avec cette femme... Mais sa profession l'empêche de rester trop longtemps au même endroit. Il prit une tonalité plus neture et dit

-Vous savez Amelia, je vais partir un jour ou L'autre étant donné mon statut de héros... Mais je vous jure que je reviendrai... Seulement pour vous. Garder le bijou en guise de souvenir et non en guise de symbole. Je vous promet que je reviendrai seulement que pour vous revoir.

Edgar était fier de son coup et commençait à croire qu'il était réellement amoureux.

Amélia lui sourit doucement.

- Ça me fait vraiment plaisir de savoir que tu reviendras...

Elle secoua doucement sa tête.

- Allez, assez de pensées tristounettes... il faut profiter du moment présent.

Elle déposa un baiser si léger sur les lèvres d'Edgar, qu'on eut dit qu'elle l'avait a peine effleuré.

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Le héros profita certes des derniers instants mais après un bon bout de temps à e minoucher. Edgar dû annoncer une bien triste nouvelle à Amelia.

-Je doit partir maintenant Amelia...Mais je reviendrai...Je te le promet!

L'homme avait pris son temps pour se rhabiller et enfiler son armure. Il pris son baton de marche et la Garde du Faucon et regarda un dernier instant la femme sur son lit. Il se contenta de sourire et sorti de l'auberge tranquillement, le coeur lourd.

Amélia s'était habillée en même temps qu'Edgar. Au moment où celui-ci allait quitter la pièce, elle l'attrapa par la main.

- Attends...

Et elle l'embrassa comme elle ne l'avait encore jamais embrassé (ni même qui que ce fut d'autre).

- Pour te porter chance...

La jeune femme avait elle aussi le coeur gros, elle sentait que cet homme partait avec une partie d'elle-même qu'elle ne pouvait encore identifier.

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Après le baiser profond de l'aubergiste, c'est comme si on avait si son coeur avait jeté une ancre à l'auberge...

La jeune femme resta dans la chambre après le départ d'Edgar. Elle s'assied sur le lit un moment, tentant de comprendre ses agissement des dernières heures.

Puis l'aubergiste en elle reprit le dessus et elle commença a préparer la chambre pour un futur client. Habituellement c'était la le travail de Sibel, mais pour une fois, Amélia s'en occupa, préférant avoir les mains occupées que de jongler avec les idées qui lui trottaient en tête.

Lorsque ce fut fait, elle se rendit a la grande salle.