Redemption ( un écrit)

Il y a peu de temps, je me met à écrire une petite histoire et, étant satisfait de moi, je vous la fait partager.

Première partie:

Perdu dans mes pensée, j'observe à travers ma fenêtre la pluie torrentiel qui tombe d'un ciel maintenant plongé dans les ténèbres. Par ce sale temps, je ne pouvait voir quoique ce soit mais je devinait que les rues étaient maintenant abandonnée. C'est vraiment un sale temps, exactement ce dont j'ai besoin pour ma dernière nuit... pour en finir avec mes tourments.

J'ai vécut pour les ténèbres, j'ai vécut avec les ombres et j'en avait finit par oublier ce qui comptait vraiment pour ne laisser que les fils qui me manipulent. Je ne veux plus être une marionnette, il est temps que je soigne mes blessures et dans par la même occasion, je la vengerais même si je suis conscient que cela signera l'ultime chapitre de ma vie.
Secouant la tête, j'essaie de m'extirper de mes rêveries, je n'ai plus le temps pour ça. J'enfile de large vêtement, ne mettant comment protection qu'un simple pourpoint de cuir noir, si l'on omet mes bracelets, puis j'accroche mes précieuses dague à l'arrière de ma ceinture avant de mettre par dessus tout ça une cape noir dont je rabat le capuchon.

Je lâche un dernier soupire afin de reprendre du courage puis dirige vers l'escalier afin de sortir. Mais sur le chemin, mon regard croise la bordure du miroir que j'ai brisé de crainte de ne pas découvrir ce que je suis devenu. Je ne sais guère si c'est mon imagination mais j'ai cru me voir tel que j'étais dans mon innocence. Je finit par descendre.

L'aubergiste me regarde d'un drôle d'aire...comme si il avait comprit. Je lui balance une bourse, contenant de quoi payer mes dettes accumuler depuis des années. Je n'étends rien si ce n'est mon propre souffle, anormalement calme, je ne craint plus la mort car je l'ai trop souvent côtoyé. La porte claque derrière moi, je profite de la pluie qui vient balayé mon visage puis, comme à mon habitude, disparais sauf que cette fois je ne reviendrais pas.

Seconde partie:

Plus mes pas mes conduisent vers mon enfers, plus j'ai l'impression que mes pensée deviennent flou pour muer en un bourdonnement excitant ma soif de sang. Un mendiant à la malchance de me repérer, il se jette sur moi, il me supplie de l'aider dans sa misère. Je m'accomplit le sourire aux lèvre, il ne souffrira plus. Son sang se mélange maintenant à l'eau sale qui sillonne autour des pavé. La route est encore longue avant la demeure du malin alors j'essaie de me focaliser sur les événement qui m'ont menée jusqu'ici.

Tout commença lorsque je n'était qu'un humble chevalier servant ma patrie le coeur gonflé d'orgueil. Notre royaume n'était peux être pas une grande puissance mais j'avais une réel estime pour le roi régnant à l'époque. Non seulement, il était brillant diplomate mais il portait des valeurs que j'enviais. Mais chaque état à ses sombre affaires et il fallait quelqu'un pous s'en occuper. Etant le plus dévoué de tous, j'étais déjà designer à jouer le mauvais rôle ce qui tombait plutôt bien car, avec mon don pour la discrétion, j'étais aussi le plus qualifié.

Avec cela, je devint vite le confident de notre bon roi mais cela ne s'arrête pas là car je fut aussi l'amant de la reine. Ne vous tromper pas, elle amait son mari mais pas comme elle le devait. Après tout, comment lui en vouloir en sachant que ça place lui fut donné dès sa naissance. Quand à moi, mal grès ma grande loyauté, je n'était pas capable de refuser son amour.

Puis certaines personnes se mirent à trouver que notre petite province faisait de l'ombre à leurs ambitions et nous nous en rendirent compte trop tard. Le chateau était maintenant prit en assaut et moi, ne pensant qu'à proteger la dame en l'emmenant en sureté, je failli à dèfendre la ville. Lorsque je revint, des cendres encore chaudes m'acceuillirent. Celle ci m'annonçant un avenir où le bonheure serait parti en fumé en même temps que la cité.

Apart des erreurs du genre "tout ça" ou "sale temps" qui sont des expressions familières, ton texte est parfait ! continue come ça !

(Après un long moment d'absence dut à une panne de pc, je fait mon retour en donnant la suite de redemption pour les interessé.

Merlyn, je suis content que mon texte te plais. Concernant l'emploi d'expression famillière, c'est dans la plus part des cas volontaire et je ne pensais pas que cela puisse gener puisque rien n'empèche le personnage qui est le narrateur d'en utiliser. Je continurais donc de les utiliser mais merci d'avoir fait une critique constructive.)

Partie Final

Sans nulle part où aller, la reine, maintenant dèchu de son rôle, et moi errâmes sur les chemins de la vie dans le but de fuir la culpabilité. Nous jouissions de cette vie sans contrainte mais je savait que tout comme moi, son coeur souffrait d'être rester renfermer dans un passé qui s'est évaporer sous nos yeux impuissant. Je faisait de mon mieux afin de soigner de ses souffrances mais, peu habitué à ce genre de situation et peux être aussi trop occupé par un sentiments de responsabilité, j'oubliais de m'occuper de son âme. Celle ci se laissais alors dépérir et ce n'est que lorsque je vite le sang sur mes mains que je comprit la gravité de la chose. Ce sang qui jaillissait de sa bouche...


Je la porta alors jusqu'à la cité la plus proche afin qu'elle puisse recevoir les soins requis. Seulement ceux ci demandaient des moyen que je ne possédais pas et la menace ni fit rien. Je donna tout ce que je pouvais en labeur afin de récolter la somme mais le temps jouait contre moi et j'étais en train de perdre lorsque le diable me fit une offre. Contrairement à ce que l'on peut penser, celui ci à un visage humain et il me vint alors sous le masque du baron qui règne ici même. Un de ceux prêt à tout pour obtenir ce qu'il veut alors je lui offrit mon âme contre la santé de la belle.

Elle était maintenant saine et sauf dans la demeure de nôtre bienfaiteur mais on me déconseilla de la voir afin qu'elle puisse se reposer en paix. Il me fallait maintenant que j'accomplisse ma part du marché ce qui consistait ce qu'il se plaisait à nommer de la censure discrète. L'idée de faire tenir son règne de terreur ne me plaisait guère mais je n'osais guère rompre mon contrat. De plus mes sombres besognes me volaient une grande partie de mon temps que je ne pouvais que rarement la revoir et lorsque ce fut le cas, j'eus la désagréable surprise de voir qu'elle essayait de m'ignorer.


Je lui trouva bien quelques raison de m'en vouloir mais j'espérais mieux d'elle. Ne se rendait elle pas compte de ce que je faisait pour elle? Ne pouvant tenir plus longtemps dans cette position, je lui demanda des explications. J'avais signé bien trop vite le pacte... je ne m'était pas seulement vendu mais elle aussi par la même occasion. L'horreur se peignit sur mon visage tandis qu'elle me narrait ses tortures son visage inondé. Je tenta alors de la sortir de là en vain puisque mon sang bouillant m'empêcha d'y aller en délicatesse. Surchargé par les gardes, on nous mena devant le tyran.

Souriant face à la situation, il, ou devrais je dire les gardes, me fit une démonstration de ce qu'elle a subit après quoi il m'expliqua mes choix: ou je continuais à travailler ainsi pour lui ou bien il me promit d'empirer les choses en me donnant comme preuve d'engagement une de ses oreilles. Je préféra donc la première solution., accomplissant mon devoir jour après jour jusqu'à ce qu'elle choisisse elle-même d'en finir avec ce cauchemar.

Je m'arrête quelques instant afin de reprendre mon souffle, contemplant le lourdes portes qui me barrent l'accès étonné de ne pas y trouver un cerbère. La pluie a cessé de tomber et j'ai séché mes larmes. Il ne me reste plus qu'une soif de sang...ce sang que j'ai aidé à pourrir. Derrière moi, je laisse une traînée vermeille scintillant sous les flammes. Je prend une profonde inspiration et me décide enfin à rentrer sur le sentier des morts.

Les soldats sont pris dans la confusion, je déverse ma haine sur eux... un avant goût de ce qui les attends. Mes blessures sont sérieuses mais corps, animé par mes sombres sentiments, refuse de s'arrêter. En me voyant venir, le baron se met à pleurnicher et moi, je souris. Je le découpe délicatement, prenant soin à ce qu'il ne nous quitte pas trop tôt.. mes forces faiblissent, ils me restent encore une chose à faire.

Je me traîne tant bien que mal jusqu'à l'extèrieur...encore quelque pas. Dans un ultime effort, ma main caresse les gravures sur la stèle. Me voila enfin ma douce lumière... j'ai accomplit ta dernière volonté... Celle que j'ai lu dans tes yeux lorsque tu me regardais dans ta prison...tu me verra mourir... moi qui a détruit ton bonheur...coupable de n'avoir pas su t'aimer comme il fallait...

Wow! je ne te connaissais pas ce talent! C'est très bien écrit!!! Continue comme ça.

même remarque que l'autre fois ( je persiste à penser qu'un narrateur se doit de raconter avec un language courant ou soutenu) mais je rajoute que tu devrais réviser le passé simple (première personne = terminaison en -ai), ainsi que de relire tes fautes d'orthographe.

Merlyn, pour mon style de narration, je peux comprendre que tu n'aimes pas mais je persiste moi aussi à dire que rien n'empèche les expression famillière tout comme il existe des livres écrit dans un style famillier. Pour le reste, je le sais et avoue que du cotès de la conjugaison,, grammaire... ect je suis vraiment nul. ^^'

Amelia, je ne le savaispas non plus maisla passion mais venu subitement. ^^

Ça ne sert à rien de vous battre pour la naration. Chacun son style... Et tout dépend du contexte. Si le narateur était omnicient, il faudrait absolument que le style soit plus soutenu mais comme c'est le personnage principal qui narre, il ne peut pas utiliser un vocabulaire qu'il ne connait pas lorsqu'il pense.

Bien pensé Amélia...
Mais que l'Empereur se rassure, ce n'est pas si mal que ça, j'ai seulement tendance à vouloir faire des remarque constructives et non blessantes... Pardonne moi donc si je t'ai véxé. De plus, même je ne t'oblige en aucun cas de suivre mes conseil, je te fait tout de même remarquer que, personellement, cela m'étonne que les livres soient publiés en langage familier et non courant... mais continu dans ce sens, et je t'appellerais Tolkien (je précise au passage que j'adore ses livres...) !